En avant, en arrière

Le Dispositif

Dans « L’Art de la perception », nous apprenons depuis quand l’art est entré dans le champ de l’exploration humaine: « Nous vivons dans des bâtiments de toutes sortes et nous écoutons toujours la musique. Nous avons des peintures sur nos murs et traitons les personnages de la télévision, du cinéma et du théâtre en tant qu’amis. Nous sommes allés aux parcs pour échapper à l’agitation, pour plonger en fiction, pour errer autour des sculptures devant les bâtiments publics et pour danser toute la nuit. Tous ces scénarios contiennent une forme appelée « art » auquel nous nous font face tous les jours. Si on considère que cet art fait déjà partie de nos vies, pourquoi devrait-il s’intégrer en vie réelle que nous vivons?

Dans « En avant, en arrière », dans lequel on combine l’art, la vie et les affaires, la vie quotidienne est comme un défilé sur un podium. La vie fait partie de l’art. Les gens qui vont et viennent sont regroupés avec des marques en rue. Ainsi, on dissolve le Centre visuel de l’image en composition de chaque image en combinaison avec la composition picturale de Bruegel.